Capdenac-le-haut
Classé « Plus beaux Villages de France », c’est un îlot de pierre suspendu au-dessus du Lot ! Parce que son architecture mais aussi son histoire en font un village à part dans le paysage lotois, Capdenac-le-Haut a intégré le cercle des Plus Beaux villages en juin 2010.
A seulement 4 km de Figeac, ce village où chaque pierre respire le Moyen-Age fut aussi l’oppidum qui vit la dernière bataille gauloise de César. Capdenac ? Un donjon, des remparts, des fontaines troglodytiques… et cette ambiance unique de forteresse gallo-romaine qui séduisit Prosper Mérimée. « L’un des plus beaux sites de France ». Les toitures sont magnifiques ! Trois matériaux, trois couleurs composent les toits du village. Tuiles plates, lauzes et tuiles canal.
Cajarc
Lové dans la vallée du Lot, Cajarc doit son développement au Moyen Âge à son port idéalement placé sur une rivière voie d’échange pour le commerce international. Sa richesse lui permet de devenir l’une des premières « communes libres » du Quercy au XIIIe siècle. Sa prospérité se poursuit après les guerres de Religion en affirmant sa position de bourg rural au XVIIe-XVIIIe siècles avant de connaître un développement économique spectaculaire au XIXe siècle avec l’exploitation du phosphate.
Devenu le petit « Saint-Tropez » du Lot au XXe siècle grâce à ses célébrités (Françoise Sagan, Georges Pompidou et Coluche), Cajarc se réécrit encore autour de la culture, de la convivialité et de la douceur de vivre…
Calvignac et Larnagol
Perché sur un éperon rocheux à 80 mètres au dessus de la rivière, Calvignac jouit de son exposition harmonieuse. Le village semble avoir été habité dès l’Antiquité. Un ancien édifice castral, dont les ruines étaient vraisemblablement encore visibles vers 1850, s’élevait au XIe siècle à proximité de l’église. Le village est quant à lui organisé en castrum depuis le XIIIe siècle.
Face à Calvignac, Larnagol domine l’autre rive du Lot. Niché au coeur du village, le château de Larnagol du XVIIIe siècle possède de superbes jardins en terrasse et des décors intérieurs préservés et fidèles à l’art de vivreà la française.
La seigneurie est dotée entre les XIe et XIIe siècles d’une simple tour sur un éperon rocheux situé entre deux pechs. La tour, en partie remaniée aux XIIIe et XIVe siècles, reçoit un logis au XVIe siècle.